Claude Dejacques, journaliste, a photographié les fresques de Nanterre et en a fait un livre.

Ce livre que Rouge-Gorge lui-même m'a offert le 2-12-68 : "à Marie-Hélène, ces quelques cris éclatés aux murs du printemps 68 " est resté un des plus précieux de ma bibliothèque, les tableaux abstraits dont il a ainsi conservé une trace, ont contribué à notre appréciation des oeuvres qu'Yves Samson a faites chez moi à Kerantorec à la fin des années 80 et à l'intérêt de ma fille Coralie pour l'art abstrait et son éveil à la photographie.


Claude Dejacques m'avait également offert le disque réalisé avec RTL : les Journées de mai 68, aussi précieux et également apprécié par mes filles aînées (nées en 75 et 77).

Je ne sais ce qu'il est devenu mais je le remercie d'avoir compris qu'un nouveau langage naissait sous nos yeux à portée d'oreilles.

S'il reste quelques chose de mai 68 (en fait de nouvelles donnes se sont inscrites profondément), c'est bien les nouveaux modes d'expression, dont celui que j'utilise aujourd'hui, sur internet, sans hiérarchie, en démocratie directe.

C'est cette liberté qu'il nous faut préserver.

"c'est pas parce qu'on à rien à dire qu'il faut fermer sa gueule"

mai 1998

marie-hélène Le Doze (dite Gaëlle)


Mes pages sur Mai 68 (mises en ligne en mai 1998)
faites l'amour pas la guerre (1998)
cette soif jamais ressentie (trois jours début juin 68 à la sorbonne libre)
message sur mai 68 en 1998
les fresques de nanterre
la chienlit c'est lui
Telerama : article de Gérard Pangon en mai 1998

la photo du Che par Alberto Korba en 67 (sur une émission sponsorisée par Apple en 1998)
Un Souvenir de Roberto Matta en mai 68 Paris



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