Martial Le Doze et Marie-Julienne le Scoazec
Sources Le Doze (le côté de mon père) :
Mes recherches Le Doze ont été faites en décembre 1984, quelques mois après la mort de mon père Louis Le Doze, qui dans ses derniers jours à Kerantorec, m'avait demandé de chercher pourquoi son grand-père Martial avait été élevé au manoir de Kermoguer.
J'avais vite trouvé la réponse en commençant mes recherches à la Mairie de Moëlan quelques jours avant Noël : Martial avait été orphelin à 8 ans après la mort accidentelle de son père Guillaume Le Doze, qui travaillait à la ferme modèle du manoir de Plaçamen à l'époque du comte de Mauduit. Ensuite sa mère, Marie-Joseph Orvoën, s'était réfugiée avec son fils et sa fille Joséphine chez son frère Pierre Orvoën, qui avait épousé la soeur de Guillaume, Madeleine Le Doze.
Pierre Orvën était, en plus du manoir de Kermoguer, aussi propriétaire de la partie de Kerantorec du côté ouest, vendue par son descendant Louis Orvoën (-2007) en 1976 à nos voisins G.
Marie-Josèphe Orvoën-Le Doze était propriétaire à Kerantorec, par sa mère Marie-Louise Le Pocher, épouse de Jacques Orvoën, de la partie devenue Le Doze en 1867 quand elle en fit donation à son fils Martial au moment de son mariage (Contrat de Mariage fait le 5 mai 1867 chez Maître Barbe) avec Marie-Julienne Le Scoazec qui, elle, avait d'autres terres, à Kerchoaz notamment, son frère aîné ayant hérité du Manoir de Kerdianou.Après la mort de Guillaume, le 8 janvier 1847, ils vivaient tous ensemble avec le grand-père Pierre Le Doze, né le 14 juillet 1789 à Khermen, qui est enterré dans la tombe des Orvoën, à côté de celle des Petithomme et des Le Doze de Kerantorec, là où reposent Martial Le Doze et Marie-Julienne Le Scoazec, leur deuxième fille religieuse, Marie-Anne, morte à 19 ans, la soeur de Martial, puis Marianne Caudan, figure émérite qui avait accompagné la vie des fils Le Doze depuis la naissance de Francis et un peu plus tard la nôtre à ma génération, lors de nos vacances chez Grand-Mère Le Doze, puis mes parents Louis Le Doze et André Gallot et enfin Bruno Le Doze, notre dernier frère.
Ayant très vite répondu à la dernière question posée par Papa, j'ai continué début 1985 après avoir contacté les différentes familles. Pardon d'ailleurs au passage à René Petithomme que j'avais confondu dans les notes de Papa avec René Le Doze, mari de tante Jo de Rostrenen. Il avait été fort affecté à l'époque de ne pas figurer sur l'arbre des ancêtres que j'avais dessiné, ce que je comprends. Hervé Petithomme avait rectifié mon erreur et m'avait fourni tous les renseignements qu'il avait alors sur les cousinages, ainsi René a retrouvé sa place normale. Merci à Hervé. Merci aussi à mes oncles Francis et Lucien, qui m'avaient bien soutenue dans mon projet. Ils ont rejoint les grands ancêtres mais m'accompagnent toujours...
J'avais fait mes recherches l'hiver 1984/1985 et dès l'été j'avais pu afficher les arbres à La Crêperie que je tenais seule depuis ma demande de divorce de mon premier mari.
La Crêperie m'avait permis de retrouver ou connaître beaucoup de gens ayant un rapport avec Kerantorec. Par exemple la famille Christien-Bourvic, dont les parents avaient été fermiers à Kerantorec et dont plusieurs enfants étaient nés ici. Ils aimaient chaque année refaire un tour sur leurs territoires d'enfance. Mon amie Marie-Noëlle, soeur au Chili, vient encore me voir lors de ses vacances à Moëlan, tous les trois ans.
Je recevais aussi beaucoup de cousins. J'ai ainsi pu connaître des branches que je n'aurais sans doute jamais connues autrement que par des noms dans un tableau. Et j'ai alors collecté tous les éléments possibles des nouveaux bébés. Jean Conan, fils d'une cousine germaine de mon père, (branche Kerdaniel) et Annie Boudic marièrent même leur fille Françoise à Kerantorec sur les lieux où était née son arrière grand-mère.A l'époque, j'ai eu la chance de pouvoir consulter directement les archives municipales sur place à Moëlan et compléter à Quimper. J'ai collecté notamment tout ce que je trouvais moi-même, sans intermédiaire, sur les naissances, mariages et décès à Kerantorec.
En 2007, je m'étais laissé dire qu'il était désormais interdit de consulter les Archives de l'état-civil à la Mairie de Moëlan en raison de certaines indélicatesses de (mauvais) généalogistes qui auraient arraché des pages. Désormais il fallait consulter des CDROM compilés par des associations. Et moi je suis plus à l'aise quand je travaille seule dans mon coin (eremita beata !). Je me félicite donc d'avoir fait ces recherches généalogiques familiales à temps. ( Voir plus bas addendum le 13 janvier 2008 )
J'ai commencé cette dernière année 2007 à reporter cette généalogie, faite au départ en fiches bristol écrites à la main, sur mon logiciel US Geditcom v3.80 (désolée s'il ne traduit pas tout en français quand il convertit les résultats en page html et site Web, il fait déjà beaucoup).
J'ai mis en ligne l'état actuel de mes recherches. Grâce à Joël QUESTEL, un de mes correspondants internautes, j'ai pu compléter 2 générations Le Doze.Nedeleg Laouenn d'an Holl!
Noël 2007
marie-hélène
Contacts familiaux:
Si j'ai contacté les familles affiliées aux Le Doze il y a 22 ans, je ne le ferai plus. Je n'ai ni le temps ni l'argent pour des timbres bien trop onéreux. Maintenant que les généalogies sont en ligne, j'attends que chacun me contacte pour ajouter ses précisions, pour lui-même, ses ascendants et descendants ou affiliés ou me dise s'il ne veut pas apparaître dans l'arbre publié, ainsi que le permet la loi.
Je ne garantis pas d'actualiser tout de suite vos précisions en ligne. C'est un énorme travail, même si le logiciel Geditcom en fait beaucoup, moi aussi et je ne peux en faire plus. Merci de me relayer.
PS le 13 janvier 2008 Droit de réponse
Hier-soir j'ai été appelée par la personne que j'incriminais dans la responsabilité de l'interdiction de la consultation des Archives de Moëlan. La personne en question était sur mon site et me sommait de supprimer la phrase où je parlais d'elle.
Sinon, et la personne a fait sa grosse voix, elle irait lundi matin à la Gendarmerie de Moëlan porter plainte contre moi en diffamation !
Je lui ai dit que c'était l'information qui m'avait été donnée à la Mairie quand j'avais voulu reconsulter des archives. La personne a dit que c'était faux ! Et que j'avais intérêt à retirer cette phrase.
Je viens de relire la page et franchement c'est utiliser un hélicoptère pour abattre une mouche dans un champ !
Je dirais que cette personne y apparaissait plutôt comme un Conservateur du Patrimoine soucieux de garder les Archives en bon état, chose que je respecte infiniment puisque la Conservation du Patrimoine local est une des priorités de vie que j'exprime dans mes pages internet depuis 1997.
Mais j'ai modifié la phrase car en fait c'est une très bonne nouvelle :
Si la phrase que j'avais écrite est fausse au point de devoir la supprimer, son corollaire est que tout le monde a le droit d'accéder aux Archives de l'État-Civil de Moëlan-sur-Mer, comme je l'ai fait il y a 23 ans !Donc je transmets le message bien volontiers à mes lecteurs et lectrices généalogistes moëlanais de plus en plus nombreux sur mes sites ! Bonnes recherches !
Marie-Hélène Le Doze
13 janvier 2007
Index général (fichier lourd de 660 ko, bien laisser charger la page pour l'avoir en mémoire cache si celle-ci-ci est activée dans le navigateur)
Raisons et méthode des généalogies historiques
Bibliographie et sites Histoire
LeDozeGallot Index général
Sources des généalogies Le Doze
Sources des généalogies Gallot
Marie-Hélène Le Doze, "eremita beata", internauteure, conseil en gestion du temps, généalogiste, jardinière, auto-éco-constructrice et future hôtesse à Kerantorec mhledoze@free.fr
Site Web généalogique créé à partir d'un fichier GEDCOM par GEDitCOM
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